jeudi 25 octobre 2007

Stoique

Je parle dans ma la langue, je roule les r
Sous le son des vagues, divague de joie,
Quand au loin des murmures dans les airs
Ronflent de foi à leur guise et se vantent les rois,
En Tiran, dans de beaux vers et des draps de soie
Que d’ouïes sourdes ! Se vantent de boire la mer
Et que le singe mime le maitre dans l’austère.
Que d’ouïes sourdes ! À l’incompris d’une lumière.
Que de fans ! En fanfare sur cette terre
À valser au rythme d’un tango sans manières.

Sauras-tu éteindre le soleil ?
Oh ! Que oui, quand en nuit je me transforme.
Alors, tu es le jour qui veille ?
Sauras-tu faire la pluie à mon réveil ?
Car j’aime les nuages et ces vagues formes
En baud dans l’air, quand les coqs s’éveillent.
Toi, qui si tôt sur le tard tiraille.
Si oui, tu es dieu ! Dans le mot sur des lèvres difformes,
Si non, tu es le sourd aux sens des merveilles,
L’aveugle du cœur, quant au reste informe.

Ce fut seulement hier de ses lèvres exu-ltées
Pas pery encore, ce saint nomade
Tranche ce choix, de l’amour dans le cœur, réputé
Caduc parait-il et langue de bois, criarde
Quand par essence fait baver les futés
Oh ! Petit prince, même les murs bavardent,
Qu’en est-il des renards bêtement réfutés ?
Qu'en est-il des jabots de miel en barde ?
Des soupçons, d’un Jubilaire carotté.
Sous une algie profonde une sagesse me regarde,
Saigner des bourgeons plein la farde !
Et de ces tics sans Poe il fait tout capoter.

Juba

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