Quand on rêve d’un monde
De fraternité et quiétudes
Quand on a ces certitudes
De changer l’immonde
On ne peut être que bougeons
On ne peut être que reine
Ou ce séraphin en peine
De Fès dans ses printemps
Je bouscule quand mes rires déambulent
Effleurent l’ange à le rendre vulnérable
Quand mes mots grondent, hurlent
On m’accuse, j'abuse en coupable
J’entends des pas, je vois une ombre
Arpente sans cesse une petite chambre
Une quête, des requêtes et des réponses
Elle songe à replier peur de plier sans once
Sans soupçons que dans ses mots elle dénonce
sa voix de femme et le parfum d’une innocence
elle est caressée en des frissons insensés elle sombre
se débat, se rabat, une ruée dans ses pénombres
Heureuse de l’être, radieuse, charmée d’attendre
Juba
De fraternité et quiétudes
Quand on a ces certitudes
De changer l’immonde
On ne peut être que bougeons
On ne peut être que reine
Ou ce séraphin en peine
De Fès dans ses printemps
Je bouscule quand mes rires déambulent
Effleurent l’ange à le rendre vulnérable
Quand mes mots grondent, hurlent
On m’accuse, j'abuse en coupable
J’entends des pas, je vois une ombre
Arpente sans cesse une petite chambre
Une quête, des requêtes et des réponses
Elle songe à replier peur de plier sans once
Sans soupçons que dans ses mots elle dénonce
sa voix de femme et le parfum d’une innocence
elle est caressée en des frissons insensés elle sombre
se débat, se rabat, une ruée dans ses pénombres
Heureuse de l’être, radieuse, charmée d’attendre
Juba